Grand amateur de piscines, mon cœur se serre à la vision désolante de cet établissement abandonné des bords de Seine.
Les algues ont envahi le bassin principal, la terre craquelé laisse entrevoir le bleu du fond du petit bassin, et le grand toboggan domine le paysage désolé de ce qui fut autrefois un lieu vibrant de vie et d’animation.
Ainsi il nous est rappelé que les œuvres du génie humain ne sont pas éternelles, que parfois la nature reprend le dessus sur l’homme, et que notre civilisation est, comme toute les civilisations, périssable. Un avant-goût de l’ère post-humaine qui arrive à grand pas?