Plus je me promène à Bezons,plus je suis fasciné par cette ville.
L’autre jour j’ai longé le chemin de halage.
Une brèche dans le mur, invitation à la visite…
Une porte entr’ouverte. Comment résister…
Une fois franchi le seuil, cette échelle, comme une promesse de ciel…
Pas déçu de la grimpette. Ici tout n’est que luxe, calme et volupté.
Vestiges d’un passé prospère…
Poursuivons la visite. Une grande cour. Au fond, un bâtiment étrange…
S’approcher…
A l’intérieur, comme une cathédrale abandonnée…
Ici et là, des objets d’une époque oubliée, abandonnés, intouchés depuis des décennies. Un disque de Claude François..
Plus loin, une machine improbable.
Une table renversée.
Bezons est et demeure la ville de tous les mystères…
Je regardais vos images aux couleurs chatoyantes, et soudain, en ce lundi nuageux, mes yeux se mettent à piquer en lisant les légendes de votre roman-photo : qui est « Clade François » ?
Bezons, une ville entre les 2 siècles.
Corrigé!
Voir des « Clade » partout est sans doute une déformation professionnelle.
Bien à vous.
Côté pile, côté face, je serais ravie de visionner un nouveau reportage sur Bezons.
Pourquoi pas des images à la surexposition mesurée et aux teintes bleutées dont l’objet serait River Ouest, cette fausse ville dans la vraie ville, cette nouvelle ville dans l’ancienne ville; Bezons, d’une révolution à l’autre, non ? Merci.
Aujourd’hui, à la cantine, la nourriture était-elle satisfaisante ?
Bezons ville-pays ou son image
Berlin ou Saigon villes-monde ou son mythe
Bezons historique ou symptomatique
Besoin de rien envie de tout
Bit’win ou vélo R&D maison
Boutis ou boubou
Betterave plein champ ou McDo
B2B2B2B2C ou vente directe
Bistrot ou Starbuck
Mais à vous Silb :
Bonjour ou bonsoir
Merci bcp pour cette petite visite en image, mais c’était le temps ou il faisait bon vivre à Bezons,
hélas ce n’est plus le cas, il est même conseillé de la fuir …..
comment fait on pour vous écrire ?
Vous pouvez utiliser l’adresse contact@graphz.fr
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Prendre des clichés et les publier, c’est la seule arme pour contrer le passage aux oubliettes de l’histoire. La stigmates de la France du XIX siècle vont bientôt disparaître sous une couche de béton armée façon Vinci, comme autant de monuments historiques définitivement engloutis par un trou noir gloutonnant richesses obsolètes et passé laborieux.
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