J’avais eu l’occasion de faire connaissance avec José, résident de la boucle d’accès au Pont de Bezons, à l’occasion de mon périple vers Bezons…
J’y suis repassé hier. Sa maison a brûlé. Et Jose a disparu.
Même les vélos, mes amis, ont brûlé…
Silberblog
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Bonjour Silb,
D’une autre manière, Paris brûle aussi : http://www.youtube.com/watch?v=F1HDZNR9cY4
Sinon, l’effet gazon-moquette Valls est-il passé par là, hein ? En effet, cela me fait penser à votre dernier billet relatif à Bezons, centre du monde médiatique franco-français d’un jour, et à la remarque du 1er flic de l’Hexagone : le patron d’Atos se dope-t-il uniquement au cidre de Cornouaille pour respecter les résultats escomptés par le CIO et les marchés ?
Bonne journée Mister Droopy et puis un vélo ce n’est qu’un meuble.
J’aime beaucoup la Une des Echos de demain : « Croissance : la rechute »
Loin des jeux de mots de Libé, elle a un sens lointain et poétique.
Votre histoire de Jose me fait penser à un joli film fin, son titre est « Un homme sans passé » du pseudo anti-renégat Aka, l’homme des nuits et des jours sans fin.
Bonne séance, the end.
Ça me fait penser aux méthodes employées par les forces de maintien de l’ordre pour lutter contre les ESI (étrangers en situation irrégulière) en Guyane.
On débarque et on brûle tout.
(N’oublions pas que la Guyane est (censée être) un département français.)
Récitons en chœur le credo municipal :
« Les berges pour tous
Les berges pour tous
Les berges pour tous »
Résultat premier : j’ai mal au cœur.
Where is Jose ?
ne vous inquiétez pas pour José , les berges lui appartiennent toujours avec une tente toute neuve. Et ce n’est pas, comme le suggère Gilles, les forces de l’ordre contre les ESI qui lui ont brulé toutes ses affaires. C’est » juste » si je peux me permettre ce terme, une affaire entre SDF.
Bonjour Silb,
https://www.google.fr/maps/@48.900493,2.277148,3a,75y,259.58h,103.06t/data=!3m4!1e1!3m2!1s6DTU-RtEviy6ETGBlNuQ6g!2e0?hl=fr
Cette image d’août 2014 n’est pas sans me rappeler votre image postée sur ce blog le 14 novembre 2013 où le spectateur pouvait contempler la maison de Jose inondée d’une lumière diaphane.
Reposant.
Bon jeudi, demain il fait chaud.